blogs.fr: Blog multimédia 100% facile et gratuit

bonnenouvelle

Blog multimédia 100% facile et gratuit

 

BLOGS

Ce blog te propose de réfléchir sur l'Evangile, sur Dieu, sur Jésus, entre autres. TON avis nous intéresse. Le but de ce

Ce blog te propose de réfléchir sur l'Evangile, sur Dieu, sur Jésus, entre autres. TON avis nous intéresse. Le but de ce blog : dialoguer.

Blog dans la catégorie :
Littérature

 

Annonce vocale

 

Blogs favoris

 

Statistiques

 




Signaler un contenu illicite

 

bonnenouvelle

DES PAROLES BENIES DE SAINT LOUIS

portrait de Saint Louis
portrait de Saint Louis 

DES PAROLES BENIES DE SAINT LOUIS

Roi de France (1226-1270)

Rapportées fidèlement par son biographe Jean de Joinville in

Vie de Saint Louis

 

 

 

Je vous livre cinq extraits des saintes paroles prononcées par ce roi très pieux et imprégné de forte reconnaissance pour tout ce que Dieu lui apportait dans sa vie. Ces paroles extraites font partie de celles qui m’ont le plus frappé par leur pertinence. A vous de commenter ci-après. - Sébastien -  

 

 

 

 

1) A quoi correspond Dieu ?  

 

Saint Louis parle : - Sénéchal, fit-il, qu’est-ce que Dieu ?

Et je lui dis : - Sire, c’est une chose si bonne qu’il ne peut y en avoir de meilleure.

Réponse de Saint Louis : - Vraiment, fit-il, c’est très bien répondu, car la réponse que vous avez faite est écrite dans ce livre que je tiens à la main.

 

 

 

2) Mise en garde sur le péché… dégradation durable.  

 

 

 

 

Saint Louis questionne Joinville : sur être lépreux ou avoir fait un péché mortel que choisir par défaut ?

Joinville répond la lèpre.

 

 

 

Le roi étonné dit : - Vous avez parlé comme un étourdi trop pressé, car vous devez savoir qu’il n’y a pas de lèpre aussi affreuse que d’être en état de péché mortel, parce que l’âme qui est en état de péché mortel est semblable au diable ; c’est pourquoi il ne peut y avoir de lèpre aussi affreuse. Et il est bien vrai que, quand l’homme meurt, il est guéri de la lèpre du corps, mais quand l’homme qui a commis le péché mortel meurt, il ne sait pas et n’est pas certain qu’il ait eu en sa vie un repentir tel que Dieu lui ait pardonné ; c’est pourquoi il doit avoir grande peur que cette lèpre ne lui dure aussi longtemps que Dieu sera au paradis.

 

 

 

3) Faut-il faire de grandes œuvres pour plaire à Dieu ?  

 

 

 

 

Il me dit de faire savoir de sa part au roi Thibaut de prendre garde au couvent des Frères prêcheurs de Provins, que celui-ci était en train de construire, pour qu’il ne mette pas son âme en situation difficile à cause des grandes sommes qu’il y dépensait.  Saint Louis parle : – Car les hommes sages, pendant qu’ils sont vivants, doivent faire de leur argent ce que leurs exécuteurs testamentaires devraient en faire, à savoir que les bons exécuteurs réparent d’abord les torts causés par le défunt, et avec le reste des biens du défunt ils font des aumônes.

 

 

 

4) La force du témoignage de l’Ecriture.

 

 

 

Il disait que la foi et la croyance étaient des choses auxquelles nous devions bien croire fermement, encore que nous n’en soyons assurés que par ouï dire. Sur ce point, il me fit une demande : comment mon père s’appelait-il ? et je lui dis qu’il s’appelait Simon. Et il me demanda comment je le savais ; et je lui dis que je pensais en être certain et le croyais fermement parce que ma mère m’en avait rendu témoignage. Et alors il me dit : - Vous devez donc croire fermement tous les articles de la foi, dont  nous rendent témoignage les apôtres, comme vous l’entendez chanter le dimanche au Credo.

 

 

 

5) Fameux épisode de l’accident de la nef royale survenu aux abords de Chypre, suivi d’une épouvantable tempête, le 25/4/1254. Saint Louis suite à ça fait part de pensées que personnellement je trouve d’une puissante véracité sur les dures raisons d’agir qu’a des fois Dieu envers l’homme.  

 

- Sénéchal, fit le roi, de telles tribulations, quand elles arrivent aux gens, ou de grandes maladies, ou d’autres malheurs, les saints disent que ce sont les menaces de Notre Seigneur. Car, de même que Dieu dit à ceux qui échappent à de grandes maladies « Or vous voyez bien que je vous aurais bien fait mourir si je l’avais voulu », ainsi il peut nous dire : « Vous voyez bien que je vous aurais tous noyés si je l’avais voulu. »

- Nous devons alors, dit le roi, regarder en nous-même qu’il n’y ait rien qui lui déplaise, pour quoi il nous ait ainsi épouvantés, et si nous trouvons quelque chose qui lui déplaise appliquons-nous à l’enlever de nous ; car, si nous agissons autrement après cette menace qu’il nous a faite, il frappera sur nous ou par la mort ou par quelque autre grand malheur, au dommage de nos corps et de nos âmes.

Le roi dit : - Sénéchal, le saint dit : « Sire Dieu, pourquoi nous menaces-tu ? ». Car si tu nous avais tous perdus, tu n’en serais sûrement pas pour cela plus pauvre, et si tu nous avais tous gagnés, tu n’en serais certainement pas plus riche pour cela.

D’où nous pouvons voir, fait le saint, que ces menaces que Dieu nous fait ne sont pas pour faire avancer son profit, ni pour empêcher son dommage ; mais seulement à cause du grand amour qu’il a envers nous, il nous réveille par ses menaces pour que nous voyions clair dans nos manquements, et que nous ôtions de nous ce qui lui déplaît

- Faisons donc ainsi, dit le roi, et nous agirons en sages.

 

Marc-Auréle et les chrétiens

 

La fervente supplication du juste peut beaucoup. Elie était un homme ayant les mêmes passions que nous, et il pria avec instance qu'il ne pleuve pas... ; et il pria de nouveau, et le ciel donna de la pluie.

Jacques 5. 16-18

Le témoignage de l'empereur

Vers l'an 160, l'empereur romain Marc-Aurèle entreprit une campagne contre la Germanie. Au cours d'une bataille, il se trouva encerclé par une immense armée d'ennemis qui lui coupèrent son approvisionnement en eau. Dans cette situation désespérée, il écrivit dans son journal ce qui suit :
« Je me mis à invoquer les dieux de mon pays, mais, devant leur silence, j'appelai ceux d'entre nous qui portaient le nom de chrétiens. En désespoir de cause, je les invitai à prier afin d'obtenir une issue à une aussi grave situation. Ils se mirent aussitôt à genoux et prièrent non seulement pour moi mais pour toute l'armée afin que nous puissions étancher notre soif, car cela faisait cinq jours que nous n'avions pas bu. A ce moment même il se mit à pleuvoir abondamment sur nous tandis que des grêlons tombaient tout alentour sur nos ennemis. Nous ne pûmes que reconnaître la présence d'un Dieu qui répond aux prières. »
A la suite de cette réponse miraculeuse à la prière, l'empereur publia un décret qu'il fit lire à Rome selon lequel les chrétiens ne devaient plus être persécutés.
On compte Marc-Aurèle parmi les philosophes stoïciens, et plusieurs de ses pensées sont pleines de sagesse, mais est-il devenu lui-même un disciple du Christ ? L'histoire ne le dit pas. Respecter les chrétiens et bénéficier de leurs prières est une chose. Avoir accepté le Christ comme son propre Sauveur en est une autre.

Buste de Marc-Aurèle

 

Les chrétiens du 1er siècle

Extraits d'une lettre adressée au 2e siècle à un païen noble, Diognète.
«Les chrétiens se conforment aux usages locaux pour les vêtements, la nourriture et le reste de l'existence, tout en manifestant les lois extraordinaires et paradoxales de leur manière de vivre. Ils résident chacun dans sa propre patrie, mais comme des étrangers de passage. Ils s'acquittent de tous leurs devoirs de citoyens, et supportent toutes les charges comme des étrangers. Ils passent leur vie sur la terre, mais ils sont citoyens du ciel. Ils obéissent aux lois établies, et leur manière de vivre est plus parfaite que les lois. Ils aiment tout le monde, et tout le monde les persécute. On ne les connaît pas, mais on les condamne. On les méprise et, dans ce mépris, ils trouvent leur force. On les calomnie, et ils y trouvent leur justification. On les insulte, ils bénissent. On les outrage, et ils honorent. Alors qu'ils font le bien, on les punit comme des malfaiteurs. Tandis qu'on les châtie, ils se réjouissent ; ceux qui les détestent ne peuvent pas dire la cause de leur hostilité. En un mot, ce que l'âme est dans le corps, les chrétiens le sont dans le monde. L'âme habite dans le corps, et pourtant elle n'appartient pas au corps, comme les chrétiens habitent dans le monde, mais n'appartiennent pas au monde.»
Ces croyants étaient des témoins de Jésus Christ.

Source : La Bonne Semence 2007

 

Dieu a envoyé son Fils

Dieu a envoyé son Fils

« Le Tout-puissant n'a pas envoyé du ciel vers nous un ange, mais bien son Fils, le créateur, l'architecte de tout l'univers, celui qui a étendu les cieux et fixé des limites à l'océan, celui auquel obéissent les astres.

Fils de Dieu, il est venu de Dieu, envoyé aux hommes comme Sauveur. Il n'est pas apparu pour nous juger, mais le jour vient où il sera le juge, et qui pourra alors supporter sa présence ? Ce moment n'est pas encore venu à cause de la grande patience de Dieu, qui pourtant reste immuablement le même.

Il avait conçu, dans son esprit, un plan sublime, merveilleux, qu'il ne confia qu'à son Fils. Il voulait d'abord montrer que les hommes ne pouvaient, par leurs propres efforts, entrer dans le Royaume de Dieu.

Puis, à l'heure fixée, Jésus prit sur lui le fardeau de nos péchés et il donna sa vie en rançon pour nous : Lui, le Saint pour des désobéissants, le Parfait pour des méchants, le Juste pour des injustes. Quoi d'autre que sa justice pourrait effacer nos injustices ? Quel autre que le Fils unique de Dieu pourrait rendre juste le méchant et l'impie ?

Oeuvre insondable ! Grâce insurpassable ! La culpabilité d'une multitude d'hommes et de femmes assumée par un seul juste et la justice d'un seul rendant justes d'innombrables coupables ».

(Lettre d'un auteur inconnu du
2ème siècle à un certain Diognetus)

 

la conversion de Saint Augustin

 

Que le Dieu d'espérance vous remplisse de toute joie et paix en croyant, pour que vous abondiez en espérance.

Romains 15. 13

 

Espérez parfaitement dans la grâce qui vous sera apportée à la révélation de Jésus Christ.

1 Pierre 1. 13

Prends et lis

Par une journée suffocante de l'été 386 en Afrique du Nord, le jeune Augustin est assis dans le jardin de son ami Alypius. Brillant professeur de rhétorique, il sent que sa vie immorale le conduit à une impasse et sa conscience est tourmentée. Dans le jardin voisin, un enfant est en train de chanter : « Prends et lis... Prends et lis. » Augustin a pris un rouleau de parchemin sur la table basse à côté de lui. Il tient dans les mains une copie de la lettre de l'apôtre Paul aux chrétiens de Rome. Il se met à lire. Ses yeux s'arrêtent sur cette phrase : « Conduisons-nous honnêtement, comme en plein jour, sans orgies ni ivrogneries, sans immoralité ni débauches, sans querelles ni jalousie. Mais revêtez le Seigneur Jésus Christ. » (Romains 13. 13-14). La conclusion est claire : il lui faut abandonner sa mauvaise conduite et suivre le Christ. Ce jour-là, le jeune homme se convertit et devient celui qu'on a appelé Saint Augustin. Les prières de sa mère sont exaucées.
Sous les apparences exaltantes du progrès des sciences et des techniques, notre siècle cache un réel désespoir, notamment parmi la jeunesse, qui compte un taux élevé de suicides et de très fortes expressions de violence, signes d'un mal-être profond. La solution est-elle dans les plaisirs, les loisirs, dans le travail ou dans un quelconque idéal... ? Le seul espoir de l'homme qui a reconnu sa faillite morale, est en Jésus Christ, le Sauveur que Dieu lui a donné.

 

Minibluff the card game

Hotels