bonnenouvelle
La vraie foi qui sauve, a lieu quand vous vous engagez personnellement
charles blondin au dessus des chutes du Niagara |
Au 19ème siècle, le plus grand funambule du monde était un homme du nom de Charles Blondin. Le 30 juin 1859, il fut le premier homme de l'histoire à traverser les chutes du Niagara sur une corde raide. Environ 25 000 personnes se rassemblèrent pour le voir faire 330 mètres suspendu sur cette simple corde à 50 mètres au-dessus des eaux furieuses. Il travailla sans filet ; sans harnais de sécurité. Le moindre faux-pas lui serait fatal. Quand il atteignit la rive canadienne, la foule a éclaté en une ovation puissante.
Durant les jours qui suivirent, il fit plusieurs fois la traversée des chutes. Une fois il a traversé sur des échasses ; Une autre fois il a pris une chaise et une poêle, il s'est assis au milieu de la traversée, a fait cuire une omelette et l'a mangé. Une autre fois il a emporté son manager sur le dos. Et un jour il a traversé en poussant devant lui une brouette pleine de 150 kg de ciment. A cette occasion, il a demandé aux spectateurs qui l'acclamaient s'ils pensaient qu'il pourrait porter un homme assis dans la brouette. Une puissante acclamation monta de la foule.
Portant ses regards sur un homme qui criait très fort, il lui demanda, "Monsieur, pensez-vous que je peux vous faire traverser en sécurité dans la brouette ?" "Oui, bien sûr," répondit l'homme. "Alors, montez !" Dit Blondin avec le sourire. L'homme refusa.
ANNUAIRECHRETIEN.COM
Trois mots
Dans une auberge de montagne, en Savoie, on peut lire, sur un tableau, cette inscription :
Passant, pense à la force de ces trois mots :
Un Dieu,
Un moment,
Une éternité.
Un Dieu qui te voit,
Un moment qui va t’échapper,
Une éternité qui t’attend.
Un Dieu que tu oublies,
Un moment que tu gaspilles,
Une éternité que tu risques si légèrement.
Source : Topchrétien.com
la destinée du docteur Faust (partie 1)
Le docteur Faust est le protagoniste d'un conte populaire allemand. Ce conte relate le destin d'un homme instruit, Johann Faust, qui appelle le diable à son aide, et offre de lui vendre son âme à condition que le diable accepte de le servir pendant 24 ans. Il signe avec le Diable la reddition de son âme.
Cette histoire est malheureusement basé sur une histoire vraie, celle de Georges Sabellicus (1480-1540) appelé Docteur Faust (le "poing fermé").
Voici un extrait de cette oeuvre littéraire : «Les pauvres gens ne soupçonnent jamais le diable, quand même il les tiendrait à la gorge.»
Aujourd'hui sur le plan spirituel, cette histoire a encore de nombreuses choses à nous apprendre. En effet, dans l'histoire originale, Satan a repris l'âme du docteur Faust. Dans ce monde, on peut vendre son âme au diable en recherchant le plaisir total et la liberté sans limite à tout prix. C'est ainsi que de nombreux jeunes vivent leurs vies.
Or Dieu n'est pas contre la jeunesse. Bien au contraire, il est dit dans la Bible dans Ecclesiaste 11, 9-10 : "Jeune homme, réjouis-toi dans ta jeunesse, livre ton coeur à la joie pendant les jours de ta jeunesse, marche dans les voies de ton coeur et selon les regards de tes yeux ; mais sache que pour tout cela Dieu t'appellera en jugement. Bannis de ton coeur le chagrin, et éloigne le mal de ton corps ; car la jeunesse et l'aurore sont vanité."
La suite au prochain article.
Samuel, un gbussien.
Il ne manque que votre signature
La représentation de « la Damnation de Faust » de Berlioz touche à sa fin. Par sa signature, le docteur Faust vient de se placer définitivement sous la domination du démon qui triomphe. Tous les instruments de l'orchestre se déchaînent. « Oh, terreurs ! » chante le petit choeur. La salle entière est saisie de frisson : Faust a vendu son âme au diable.
Ce que chacun oublie, c'est qu'il n'est pas besoin de vendre son âme au diable pour lui appartenir. C'est chose déjà faite si nous n'avons pas de relation personnelle et vivante avec Dieu par Jésus Christ. Pourquoi aurait-il fallu que Dieu donne son Fils unique si nous n'étions pas tous effectivement perdus ?
Le plus grand danger n'est pas de donner comme Faust son âme au diable, mais de ne pas la donner à Dieu. L'oeuvre du salut a été faite par Jésus Christ à la croix. Encore faut-il l'accepter par une décision personnelle.
Dans la vie courante, il n'existe aucun acte important nous concernant qui puisse se conclure sans notre signature, manifestation formelle de notre volonté.
« Voici, c'est maintenant le jour du salut » (2 Corinthiens 6. 2). L'oeuvre est attestée par Dieu comme un contrat auquel il ne manque que votre signature. Ne voulez-vous pas la donner maintenant ?
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Avec Jésus pour compagnon de route, l'impossible devient possible. La foi est la meilleure des assurances-vies lorsqu'on est confronté à des situations à priori périlleuses pour nous. Amen !