bonnenouvelle
Le clown, c'est moi
carte postale du clown Grock |
Un jour, un malade vint sonner à la porte d'un médecin.
Il ne souffrait, disait-il, d'aucun mal particulier, mais ressentait un malaise continuel, un trouble indéfinissable, une tristesse qu'il ne pouvait surmonter.
En effet, après un examen minutieux, le médecin ne trouva aucun organe malade.
Il finit par déclarer à son client :
- Ce qu'il vous faut, c'est de la distraction. Tenez, commencez ce soir. Il y a un cirque qui donne des représentations avec le clown Grock, allez le voir !
Alors l'homme regarda tristement le médecin :
- Mais... c'est moi le clown !
Les rires du monde, son excitation, tout cela est comme une mousse vite évaporée.
Le cœur de l'homme ne peut s'en satisfaire, il a besoin d'une autre joie, celle promise par JESUS :
" Je vous ai dit ces choses, afin que ma joie soit en vous, et que votre joie soit parfaite. "
(Evangile de Jean chapitre 15 verset 11)
Extrait du livre d'André THOMAS-BRES "Anecdotes qui font réfléchir" (Editions J.V.B.)
Rockefeller ou la leçon d’un milliardaire
john rockfeller vers la fin de sa vie |
Détesté de tous, à 53 ans, dans une nuit d’insomnie, il fit la saisissante découverte qu’en passant dans l’autre monde, il ne pourrait emporter de sa fortune la moindre petite pièce et que l’argent n’est pas quelque chose qu’on accumule mais qu’on partage pour le bien d’autrui.
Dès le matin, il le transforma en bienfaits en soutenant des causes qui en étaient dignes. Il déversa des centaines de millions de dollars sur les universités, les hôpitaux, les œuvres missionnaires pour des millions de personnes dans le besoin et il jouit en retour de la reconnaissance de ceux qu’il aida. Un courant de santé revint en lui ; il retrouva le sommeil, l’appétit et c’est seulement à 98 ans, lui, l’homme condamné à brève échéance, qu’il quitta ce monde.
Angoisse humaine... joie chrétienne
A l'occasion de la Toussaint, le chroniqueur d'un hebdomadaire local écrit : "Certainement, en ces moments-là, ceux qui veulent se souvenir et revoir en leur mémoire l'image d'un être aimé, prennent conscience de l'impuissance de l'humain devant la mort de la fragilité et de la brièveté d'une existence". Et il ajoute : "Nous ne sommes ici-bas que de pauvres locataires avec un bail bien précaire. Nous ne sommes que des passants !" Tristesse... Angoisse... Pourquoi ? Parce que l'on ne connaît pas Jésus ressuscité comme espérance, but et consolation du croyant. |
Source : Topchrétien
Paul et Silas en prison : une illustration biblique de la joie dans la difficulté (partie 1)
Actes 13 à 34
A Philippes
13 Le jour du *sabbat, nous nous sommes rendus hors de l'enceinte de la cité, au bord d'une rivière où nous supposions que les Juifs se réunissaient d'habitude pour la prière. Quelques femmes étaient rassemblées là. Nous nous sommes assis avec elles et nous leur avons parlé.
14 Il y avait parmi elles une marchande d'étoffes de pourpre, nommée Lydie, originaire de la ville de Thyatire et qui adorait Dieu. Elle écoutait, et le Seigneur ouvrit son cur, de sorte qu'elle fut attentive à ce que disait Paul.
15 Elle fut baptisée avec sa famille et ceux qui en dépendaient, puis elle nous invita en disant:
---Puisque vous avez jugé que je crois au Seigneur, venez loger chez moi.
Et, avec insistance, elle nous pressa d'accepter.
16 Un jour que nous nous rendions au lieu de prière, une esclave vint à notre rencontre. Elle avait en elle un esprit de divination, et ses prédictions procuraient de grands revenus à ses maîtres.
17 Elle se mit à nous suivre, Paul et nous, en criant à tue-tête:
---Ces hommes-là sont des serviteurs du Dieu très-haut: ils viennent vous annoncer comment être *sauvés!
18 Elle fit cela plusieurs jours de suite.
A la fin, Paul, excédé, se retourna et dit à l'esprit:
---Je t'ordonne, au nom de Jésus-Christ, de sortir de cette femme!
A l'instant même, il la quitta.
19 Lorsque les maîtres de l'esclave s'aperçurent que leurs espoirs de gains s'étaient évanouis, ils se saisirent de Paul et de *Silas et les traînèrent sur la grand-place de la ville devant les autorités.
20 Ils les présentèrent aux magistrats romains et portèrent plainte contre eux en ces termes:
---Ces gens-là sont des Juifs qui jettent le trouble dans notre ville.
21 Ils cherchent à introduire ici des coutumes que nous, qui sommes Romains, n'avons le droit ni d'accepter, ni de pratiquer!
22 La foule se souleva contre eux. Alors, les magistrats leur firent arracher les vêtements et ordonnèrent qu'on les batte à coups de bâton.
23 On les roua de coups et on les jeta en prison. Le gardien reçut l'ordre de les surveiller de près.
24 Pour se conformer à la consigne, il les enferma dans le cachot le plus reculé et leur attacha les pieds dans des blocs de bois.
25 Vers le milieu de la nuit, Paul et *Silas priaient et chantaient les louanges de Dieu. Les autres prisonniers les écoutaient.
26 Tout à coup, un violent tremblement de terre secoua la prison jusque dans ses fondations. Toutes les portes s'ouvrirent à l'instant même et les chaînes de tous les prisonniers se détachèrent.
27 Le gardien se réveilla en sursaut et vit les portes de la prison grand ouvertes: alors il tira son épée et allait se tuer, car il croyait que ses prisonniers s'étaient enfuis[f].
28 Mais Paul lui cria de toutes ses forces:
---Arrête! Ne te fais pas de mal, nous sommes tous là.
29 Le gardien demanda des torches, se précipita dans le cachot et, tremblant de peur, se jeta aux pieds de Paul et de Silas.
30 Puis il les fit sortir et leur demanda:
---Messieurs, que dois-je faire pour être sauvé[g]?
31 ---Crois au Seigneur Jésus, lui répondirent-ils, et tu seras sauvé, toi et les tiens.
32 Et ils lui annoncèrent la Parole de Dieu, à lui et à tous ceux qui vivaient dans sa maison.
33 A l'heure même, en pleine nuit, le gardien les prit avec lui et lava leurs blessures. Il fut baptisé aussitôt après, lui et tous les siens.
34 Puis il fit monter Paul et Silas dans sa maison, leur offrit un repas, et se réjouit, avec toute sa famille, d'avoir cru en Dieu.
Footnotes:
-
Actes 16:27 Les geôliers qui laissaient échapper un prisonnier étaient condamnés à la peine qu'aurait dû subir le fugitif.
-
Actes 16:30 Autre traduction: pour sortir indemne de cette situation.
- Commentaires textes : Écrire
Paul et Silas : une illustration de la joie chrétienne dans les difficultés (partie 2)
Pourquoi Paul et Silas ont-ils été envoyés en prison ?
Dans les versets 13 à 24, nous voyons Paul et Silas en train d’annoncer l’Evangile dans la ville de Philippes. Paul et Silas font un jour la rencontre d’une esclave ayant un esprit lui permettant de prédire l’avenir. Elle déclare pendant des jours l’objet de la venue de Paul et Silas dans cette ville. Paul, excédé, chasse alors au nom de Jésus l’esprit de divination de cette femme. Or comme cette esclave rapportait de grands revenus à ces maitres, ces derniers amènent Paul et Silas devant les autorités judiciaires de la ville sous le prétexte de désordre religieux, occultant ainsi le vrai motif. Ils sont roués de coups et ensuite envoyés au plus profond de la prison pour avoir le moins de chances de s’échapper.
Quelle est la réaction de ces deux hommes après cette journée difficile ?
L’état d’esprit normal d’une personne accusé à tort et battu à coup de bâtons sans aucun procès serait le désespoir, le découragement. Les marques dans la chair font souffrir à chaque mouvement.
Mais que font Paul et Silas ? Le verset 25 dit « Vers le milieu de la nuit, Paul et Silas priaient et chantaient les louanges de Dieu ». Leur attitude spirituelle montre que c’est tout le contraire. Ils ont mis leur espoir en Dieu et ils expriment cet espoir oralement à tous les prisonniers. Ils s’attendent à Dieu et sont rempli d’une telle joie qu’ils oublient leurs souffrances. Le texte précise que « les autres prisonniers les écoutaient. », ce qui veut dire que cette attitude les surprend. Cette joie dans la douleur les étonne au point qu’ils ont dû se demander qui étaient ces hommes pour réagir comme cela.
Que se passent-ils après cette attitude d’espoir ?
Dans les versets 26 à 34, Dieu agit et un tremblement de terre se produit. Le gardien de prison craignant de voir tous les prisonniers est sur le point de se tuer lorsque Paul lui crie de ne pas se tuer. Le gardien de prison, si arrogant au moment de leur arrivée en prison devient alors tout tremblant pour s’humilier devant Paul. Il vient de vivre quelque chose d’unique. Ces hommes sont vraiment « les envoyés du Dieu vivant », comme l’annonçait l’esclave.
L’homme demande à Paul et Silas comment être sauvé. L’Evangile est annoncé. Lui, toute sa famille, ses amis croient au message de l’Evangile. Le gardien de prison guérit les plaies non soignés de Paul et Silas. Il fait même un repas où toutes ces personnes se réjouissent d’avoir cru en Dieu.
Veux-tu toi aussi connaitre cette joie ?
Article écrit par Samuel, un gbussien.
- Commentaires textes : Écrire
Lire les commentaires textes
Jésus est le plus puissant remède qui soit contre le vague à l'âme : il apporte l'Amour du Père qui lave les blessures, manques de notre être intérieur tout en proposant des solutions à notre désarroi profond. Une prière qu'on élève au Créateur fait beaucoup de bien : c'est gratuit et procure des résultats tangibles j'en apporte des preuves sur le blog du gbu d'angers.