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le flambeau d'Alexandre
Le flambeau d'Alexandre
L'histoire raconte qu'Alexandre le Grand, chaque fois qu'il mettait le siège devant une ville ennemie, faisait fixer, devant les portes de la cité, un énorme flambeau allumé. Cela signifiait que toute personne qui sortirait vers lui, de jour ou de nuit, tant que le flambeau brûlerait, aurait la vie sauve. Mais, une fois le flambeau éteint, tous ceux qui seraient restés à l'intérieur de la ville seraient, sans miséricorde, frappés par l'épée.
Le monde n'est pas en état de siège ; cependant beaucoup de gens, même parmi ceux qui rejettent la parole prophétique de la Bible, ont le pressentiment que les choses ne peuvent pas continuer ainsi et ils sont saisis d'angoisse. Le déséquilibre de l'économie mondiale, la consommation effrénée des ressources naturelles, les perpétuels risques de guerre dans tel ou tel point chaud du globe, les menaces qui pèsent sur l'écologie de la planète, sans parler de la dérive morale de la société, sont autant de sujets d'inquiétude pour tous ceux qui veulent bien regarder les choses en face.
Dans la Bible, Dieu a décrit cette ambiance, et en a annoncé l'issue : «La terre chancelle, elle chancelle comme un homme ivre, elle est ébranlée deçà et delà comme une cabane pour la nuit. Sa transgression pèse sur elle, elle tombera et ne se relèvera pas» (Esaïe 24. 20).
Mais le «flambeau» brûle encore. Aujourd'hui, c'est encore le temps de la grâce durant lequel Dieu sauve tous ceux qui se confient en lui.
source : La bonne semence
Une fresque murale représentant Alexandre le Grand en pleine bataille.
La vie de James Marshall
Une vie perdue
James Marshall est l'homme qui, le 8 janvier 1854, trouva la première pépite d'or sur le sol de la Californie.
Très vite il se révéla comme le plus habile des chercheurs d'or.
Mû par un sûr instinct, il découvrit successivement les plus riches gisements.
Pourtant peu d'hommes eurent une plus misérable existence.
De tous côtés des aventuriers, tels des oiseaux de proie, s'emparèrent de ses installations et exploitèrent sans vergogne les gisements qu'il avait découverts.
Il voulut fuir et aller se faire plus loin une nouvelle fortune.
Mais la horde des chercheurs d'or lui attribuait un pouvoir mystérieux et le poursuivait partout où il allait.
Il essaya d'échapper à ces hommes que leur avidité avait rendu de vrais démons, mais c'était en vain ; de quelque côté qu'il se tournât, une meute toujours grandissante s'abattait sur le lieu même où il venait de s'établir...
Brisé, ruiné et de plus en plus malade, il finit sa vie dans la plus profonde détresse.
L'Etat de Californie consentit à lui accorder pour ses dernières années une misérable pension qui ne lui fut d'ailleurs payée que pendant deux ans !
Il mourut dans la misère.
Il dut bien des fois maudire la journée où ayant ramassé le cœur battant la petite pépite jaune, croyant avoir trouvé le vrai bonheur, il avait rencontré la misère et le désespoir.
" Ne vous amassez pas des trésors sur terre, où la teigne et la rouille détruisent et où les voleurs percent et dérobent, mais amassez-vous des trésors dans le ciel où la teigne et la rouille ne détruisent point, et où les voleurs ne percent ni ne dérobent, car là où est ton trésor, là aussi sera ton cœur. "
(Evangile de Matthieu chapitre 6 versets 19 et 20)
Extrait du livre d'André THOMAS-BRES "Anecdotes qui font réfléchir" (Editions J.V.B.)
Photo de James Marshall
Des chercheurs d'or en Californie
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Recherche de la gloire
"Nous sommes si présomptueux que nous voudrions être connus de toute la terre et même des gens qui viendront quand nous ne serons plus. Et nous sommes si vains que l'estime de cinq ou six personnes qui nous environnent, nous amuse et nous contente".
Blaise Pascal, extrait de Contrariétés dans "Pensées".
Nobel et Monod : 2 orientations
le pasteur Adolphe Monod (1802-1856) |
"Je me trouve errant, sans boussole et sans gouvernail, comme un bateau à la dérive, sans utilité, brisé par la destinée, sans lumineux souvenirs du passé, sans cette belle clarté des espérances…" Cet homme était libre-penseur.
En face de lui, placez un chrétien tel qu’Adolphe Monod qui, malade et souffrant terriblement, composait ce beau cantique :
"Heureux, toujours heureux : j’ai le Dieu fort pour Père,
Pour frère : Jésus-Christ, pour conseil : l’Esprit Saint.
Que peut ôter l’enfer, que peut donner la terre
A qui jouit du ciel et du Dieu trois fois saint !"
Voilà la différence entre le croyant et l’incrédule.
Source : André Jalaguier.
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Sachons saisir la main de Dieu qui ne veut que notre bonheur en nous tenant éloigné de Satan et de ses anges qui pilotent le monde pour le conduire à sa perte. Il suffit de lire les journeaux pour s'étonner des catastrophes, guerres... inhumaines qui ruinent notre monde.