bonnenouvelle
Ce n’était pas la peine d’aller si loin !
Albert Szent-Györgyi (1893-1986) |
Vous avez entendu parler de la vitamine C et de ses propriétés. Elle a été découverte par un savant hongrois, Albert Szent-Györgyi. Ce savant avait été invité par l’université américaine de Cincinnati à venir poursuivre dans ses magnifiques laboratoires ses recherches sur la vitamine en question. Mais après quatre années de travaux acharnés, il n’avait pu obtenir qu’une quantité dérisoire de 24 grammes. Inutile de continuer !
Il rentra dans son pays, désolé de son échec.
Pour son arrivée, sa femme avait préparé un repas de fête où figurait, comme il se doit en Hongrie, un plat de paprikas, autrement dit de poivre vert. Subitement, sans savoir pourquoi, Albert Szent-Györgyi eut une inspiration, il s’empara de ce qui restait de paprikas et courut s’enfermer dans son laboratoire. Rapidement, il se rendit compte que le paprika contenait en abondance de la vitamine « C.»
Il avait fait des milliers de kilomètres et passé plusieurs années de sa vie à chercher vainement ce qui se trouvait en abondance à portée de sa main.
Combien de gens vont chercher très loin le salut de leur âme dans des doctrines occultes parées des prestiges de l’Orient et qui ne leur apportent rien que déboires et ruines spirituelles !
Cependant, ils ont à coté d’eux la source abondante de l’Évangile.
Source : Topchretien
Comment Jésus Christ devint mon Sauveur
Un pasteur, du nom de Leland Wang, raconte ainsi sa conversion :
" Je suis, de race, chinois, et par grâce, chrétien. Né à Foochow, sur le littoral de la Mer Jaune, je n’ai jamais eu l’occasion, dans mon enfance, de fréquenter une école du dimanche. C’est ainsi que, dans mon ignorance, lorsqu’une première Bible me fut aimablement offerte, je ne trouvai rien de mieux que d’en faire un album de timbres... J’y collais avec zèle tous les timbres que je ramassais, tandis qu’à présent, j’ai pour devise : " Pas de Bible, pas de déjeuner ".
A l’âge de quatorze ans, alors que j’étais en traitement à l’hôpital de Shangaï après un accident, je commençai à m’enquérir sur des sujets concernant la vérité. Je voulais savoir d’où je venais, où j’irais après la mort et quel était le vrai but de la vie. J’étudiai les ouvrages de Confucius, de Bouddha, de Tao, mais aucun ne pouvait résoudre mes problèmes, et je me laissais aller à croire : " Il n’y a qu’à manger, boire, être joyeux, car demain nous mourrons ".
La jeune femme à laquelle j’étais fiancée était devenue chrétienne. Après notre mariage, je me mis à lire la Bible, désirant connaître la vie de Jésus. Il devait être, me disais-je, un personnage bien merveilleux puisque bien des bonnes œuvres se font en son nom et que la date de sa naissance partage l’histoire du monde en deux périodes : avant et après cette date.
C’est alors que, par ma lecture, sûrement aussi en réponse aux prières de bien des enfants de Dieu pour moi, et grâce au témoignage de ma femme, j’acquis la conviction qu’il n’y a qu’un seul Dieu vivant et vrai, que j’étais un pécheur perdu, que Jésus Christ avait été livré pour mes transgressions et ressuscité pour ma justification. Plus tard le Seigneur m’accorda la joie d’être l’instrument choisi par Lui pour amener à sa connaissance mes parents et mes trois plus jeunes frères.
En 1921, Dieu m’appela à prêcher l’évangile, et je puis le faire dans la dépendance de Dieu seul. J’appris à me confier en Lui pour tous mes besoins. Au cours des années suivantes, j’ai eu le privilège de voir des milliers de personnes, dans plus de vingt pays différents, se tourner des ténèbres vers la lumière et du pouvoir de Satan à Dieu.
Confucius nous enseigne les devoirs de la vie, Bouddha, la vanité de la vie, mais Christ nous donne la vie éternelle et la gloire car : " les gages du péché, c’est la mort ; mais le don de grâce de Dieu, c’est la vie éternelle dans le christ Jésus, notre Seigneur " (Rom. 6, 23) ".
Pendant qu’il était à Java , en 1952, le pasteur Wang tomba entre les mains d’une bande de voleurs qui le battirent cruellement. Ses blessures n’étaient pas graves, mais il perdit sa Bible, ses notes de sermons, son passeport et d’autres documents importants, en plus de sa valise et de ses vêtements. Il parla de ces épreuves en ces termes : " Je perdis ma Bible mais non pas Christ mon Sauveur, mes notes bibliques mais non pas mon message, mon passeport terrestre mais non le chemin du ciel, mon livre d’adresses, mais non pas mes amis". "
La Société chinoise des missions étrangères fut formée en 1929 par Leland Wang. Son effectif entièrement chinois se compose de vingt-six serviteurs de Dieu travaillant dans treize stations.
Cette association est une œuvre de foi et la première mission organisée par des chrétiens chinois. Quand la Chine fut fermée à l’œuvre missionnaire, la Société put se concentrer, au moyen des stations déjà existantes, au travail parmi les chinois en dehors de Chine. On en compte une vingtaine de millions au sud de l’Asie et en Indonésie.
source :www.tharsei.org
Quand Dieu cherche une âme
Un évangéliste, visitant à Nottingham une chrétienne très âgée, lui demanda comment elle s'était convertie.
- En lisant cela, répondit-elle, lui tendant un morceau de journal jauni et tout froissé qu'elle tira de sa Bible. C'était un fragment d'un journal américain contenant un extrait de sermon de Charles Spurgeon, un célébre prédicateur anglais du 19ème Siécle. L'évangéliste étonné lui posa la question :
- Mais où avez-vous eu ce journal ?
- C'était l'emballage d'un paquet que l'on m'a envoyé d'Australie, répondit-elle.
Ce qu'il en coûte
Deux jeunes gens causaient entre eux.
L'un venait de se convertir.
Il disait à l'autre :
- Si tu savais combien je suis heureux depuis que j'ai donné mon cœur au Seigneur !
- Oui, répondit l'autre, je le vois bien et je voudrais être comme toi ; mais je suis arrêté par la pensée de tout ce qu'il me faudrait laisser pour me convertir.
Ah ! Il en coûte de se donner à DIEU !
Un chrétien passait par là.
Il avait entendu cette dernière phrase.
S'approchant, il dit :
- Vous affirmez qu'il en coûte de venir au Seigneur, c'est très vrai !
Mais veuillez considérer ce qu'il en coûte de rester loin de Lui.
Faites le compte, et agissez d'après cela !
" Que servirait-il à un homme de gagner tout le monde s'il perdait son âme ? "
(Evangile de Matthieu chapitre 16 verset 26)
" Celui qui voudra sauver sa vie la perdra, mais celui qui perdra sa vie à cause de moi et de la Bonne Nouvelle, la sauvera. "
(Evangile de Marc chapitre 8 verset 35)
Extrait du livre d'André THOMAS-BRES "Anecdotes qui font réfléchir" (Editions J.V.B.)
Lire les commentaires textes
Quand on sait que la Bible est un ouvrage facilement trouvable en France, pourquoi ne pas s'en munir pour y jeter un oeil et voir que la Parole contenue dans ses pages vitamine carrément nos vies. Amen !
je vous invite à lire les Evangiles (Matthieu, Marc, Luc, Jean) pour vous faire une idée sur le message de l'Evangile. libre à vous de choisir aprés si vous y croyez ou pas.